« Lend me your ears and I'll sing you a song,
And I'll try not to sing out of key.
Oh I get by with a little help from my friends,
Ummm I get high with a little help from my friends,
Ummm Going to try with a little help from my friends. »
- The Beatles
Afin de terminer en beauté la première édition de la Cité d'Art, le Théâtre La Scène a accueilli avec panache, samedi dernier, la soirée « Charly Pop and Friends ».
Devant une bonne foule (plus de 200 personnes, à vue de nez), réceptive et enthousiaste (et dans une salle vraiment magnifique!), tous les artistes ont eu un malin plaisir à contribuer à cet événement festif, sans prétention.
Charly Niles a animé de main de maître la soirée. Visiblement ému et ravi d'être sur place, il a présenté, avec générosité, ses invités provenant de sphères artistiques réellement diversifiées. Et, dans quelques cas, de Saint-Hyacinthe et des environs.
Que ce soit la danse, la magie, l'humour ou la chanson, tous y ont trouvé leur compte.
Après un numéro de tango bien ficelé offert par Studio Hipnoze, le sympathique illusionniste Sébastien Louis XVI a réellement épaté la galerie. On aurait bien aimé qu'il fasse apparaître des bouteilles de champagne un peu partout...
Le franc-parler de Jani Barré (qui a parlé de son quotidien en tant que personne handicapée), la dextérité de Vincent Vertefeuille à la guitare, la poésie de Michel Dion, les rythmes hip hop efficaces de Farfadet et AlOr, l'audace et l'humour coquin de Maxime Leblanc, la voix soul et le charisme de Pierre Lucien et les imitations percutantes de Stéphane Bélanger ont tous, à leur manière, séduit l'auditoire.
Bref, une façon agréable de clore un festival qui a su « mettre le projecteur » sur le centre-ville et le talent de plusieurs artistes maskoutains.
Un bon point de départ pour bâtir un rendez-vous culturel appelé à grandir et à rayonner au fil des ans. Chapeau!
mardi 16 juillet 2013
vendredi 12 juillet 2013
Rouge couleur passion!
« Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années » - Pierre Corneille
Cette maxime de Corneille s'applique à merveille à Zaïma, une pétillante artiste fort connue à Chambly et qu'on peut découvrir par le biais de son exposition, jusqu'à dimanche, au Complexe D. Fantazi (1336, rue des Cascades), en plein coeur de Saint-Hyacinthe.
Du haut de ses 22 ans, la gentille rebelle à la chevelure de feu n'attend pas qu'on lui fasse des cadeaux. Avec son énergie débordante, Zaïma a su défoncer quelques portes et persévérer afin de réaliser son rêve d'enfance, soit vivre de sa passion.
« Bien des gens ont tenté de me décourager. Et j'aurais pu baisser les bras après avoir été refusée par l'Université de Concordia, où je voulais étudier en arts. Ce fut pour moi un coup de pied dans le derrière qui m'a motivé à augmenter mes efforts et à foncer. Plus tard, je ne souhaitais pas avoir de regrets », lance-t-elle avec conviction.
Zaïma consacre de nombreuses heures par semaine afin de perfectionner son art, en privilégiant des techniques telles l'acrylique, le latex et même la poudre métallique. Une centaine de ses toiles sont déjà en circulation. Les visiteurs du Complexe D. Fantazi apprécieront sans aucun doute le format géant de ses toiles, ponctuées de couleurs vives et psychédéliques.
« Je me décris comme une peintre surréaliste, fortement inspirée par le corps humain. Je laisse aller mon côté extrêmiste et ça donne de bons résultats », soutient-elle.
Sur le site Web de Zaïma (www.artbyzaima.com), on peut d'ailleurs se familiariser avec la démarche artistique de la jeune artiste. « Je crée pour l'amour de l'Art, en exposant à l'esprit une nouvelle façon d'entrevoir le genre humain et sa perpétuelle quête de soi », peut-on y lire.
Celle qui aime varier ses émotions - elle peut, au choix, se relaxer par le yoga ou écouter un air rock metal afin de l'inspirer - souhaite surprendre les amateurs d'art.
« J'espère que tout en reconnaissant mon style, les gens aimeront la diversité de mes oeuvres. J'ai bien des projets en tête, ne soyez pas inquiets! », soutient-elle.
N'en doutez pas, Zaïma est une artiste à part entière, qui a un avenir brillant devant elle.
« Je peins ce que les mots ne peuvent définir. Si peindre est une libération de l'esprit, alors l'acrylique est mon oxygène », déclare-t-elle sur son site Web.
Cette maxime de Corneille s'applique à merveille à Zaïma, une pétillante artiste fort connue à Chambly et qu'on peut découvrir par le biais de son exposition, jusqu'à dimanche, au Complexe D. Fantazi (1336, rue des Cascades), en plein coeur de Saint-Hyacinthe.
Du haut de ses 22 ans, la gentille rebelle à la chevelure de feu n'attend pas qu'on lui fasse des cadeaux. Avec son énergie débordante, Zaïma a su défoncer quelques portes et persévérer afin de réaliser son rêve d'enfance, soit vivre de sa passion.
« Bien des gens ont tenté de me décourager. Et j'aurais pu baisser les bras après avoir été refusée par l'Université de Concordia, où je voulais étudier en arts. Ce fut pour moi un coup de pied dans le derrière qui m'a motivé à augmenter mes efforts et à foncer. Plus tard, je ne souhaitais pas avoir de regrets », lance-t-elle avec conviction.
Zaïma consacre de nombreuses heures par semaine afin de perfectionner son art, en privilégiant des techniques telles l'acrylique, le latex et même la poudre métallique. Une centaine de ses toiles sont déjà en circulation. Les visiteurs du Complexe D. Fantazi apprécieront sans aucun doute le format géant de ses toiles, ponctuées de couleurs vives et psychédéliques.
« Je me décris comme une peintre surréaliste, fortement inspirée par le corps humain. Je laisse aller mon côté extrêmiste et ça donne de bons résultats », soutient-elle.
Sur le site Web de Zaïma (www.artbyzaima.com), on peut d'ailleurs se familiariser avec la démarche artistique de la jeune artiste. « Je crée pour l'amour de l'Art, en exposant à l'esprit une nouvelle façon d'entrevoir le genre humain et sa perpétuelle quête de soi », peut-on y lire.
Celle qui aime varier ses émotions - elle peut, au choix, se relaxer par le yoga ou écouter un air rock metal afin de l'inspirer - souhaite surprendre les amateurs d'art.
« J'espère que tout en reconnaissant mon style, les gens aimeront la diversité de mes oeuvres. J'ai bien des projets en tête, ne soyez pas inquiets! », soutient-elle.
N'en doutez pas, Zaïma est une artiste à part entière, qui a un avenir brillant devant elle.
« Je peins ce que les mots ne peuvent définir. Si peindre est une libération de l'esprit, alors l'acrylique est mon oxygène », déclare-t-elle sur son site Web.
mardi 9 juillet 2013
Le "beat" maskoutain de Charly Pop
Alors qu'il rêvait de faire carrière en humour, Charly Niles brillait en improvisation et au concours Cégep en spectacle à Saint-Hyacinthe. C'est avec bonheur que quelques années plus tard, celui que l'on connait sous le nom de Charly Pop s'implique avec force afin d'augmenter la vitalité de la vie culturelle et touristique de "La Jolie".
Cet artiste multidisciplinaire et humoriste de renom est un des piliers de la Cité d'Art, qui a pris son envol en 2013. Connu au départ en tant que « beat box humain », Charly Niles a su développer au fil du temps ses talents d'animateur et d'organisateur par le biais de sa compagnie, Charlo Divertissement.
« C'est un plaisir de retrouver mes amis et la communauté maskoutaine en général. J'ai vraiment connu de beaux moments ici et avec la Cité d'Art, j'espère bien contribuer à animer ce magnifique centre-ville », confie-t-il.
Charly Niles adore partager sa passion avec plusieurs artistes lors de la programmation de la Cité d'Art. Il souhaite ainsi faire découvrir - ou rédécouvrir - plusieurs talents de la relève, dont quelques-uns de la région.
« Il y a tellement de potentiel à Saint-Hyacinthe! En plus d'avoir un centre-ville dynamique, nous sommes choyés au niveau des salles de spectacle. Notre but, c'est de faire bouger les gens, de leur faire vivre de belles expériences et de favoriser les échanges », clame-t-il.
Au-delà de ses tournées à travers le Québec - avec également un bon succès dans le reste du Canada et en Europe -, Charly Niles aime faire sa part socialement. Celui qui a notamment agi comme porte-parole des Journées montérégiennes de la persévérance scolaire et de l'événement Relève en folies voit avant tout comme un rassembleur.
« Lors de la soirée du 13 juillet (Charly Pop and Friends), au Théâtre La Scène, ce sera l'occasion pour le grand public d'explorer plusieurs univers artistiques différents. Pour ma part, en plus des performances à caractère musical, je raconterai quelques anecdotes cocasses. Ce sera une magnifique soirée, qui clôturera en beauté la Cité d'Art. J'ai très hâte! », soutient-il.
Cet artiste multidisciplinaire et humoriste de renom est un des piliers de la Cité d'Art, qui a pris son envol en 2013. Connu au départ en tant que « beat box humain », Charly Niles a su développer au fil du temps ses talents d'animateur et d'organisateur par le biais de sa compagnie, Charlo Divertissement.
« C'est un plaisir de retrouver mes amis et la communauté maskoutaine en général. J'ai vraiment connu de beaux moments ici et avec la Cité d'Art, j'espère bien contribuer à animer ce magnifique centre-ville », confie-t-il.
Charly Niles adore partager sa passion avec plusieurs artistes lors de la programmation de la Cité d'Art. Il souhaite ainsi faire découvrir - ou rédécouvrir - plusieurs talents de la relève, dont quelques-uns de la région.
« Il y a tellement de potentiel à Saint-Hyacinthe! En plus d'avoir un centre-ville dynamique, nous sommes choyés au niveau des salles de spectacle. Notre but, c'est de faire bouger les gens, de leur faire vivre de belles expériences et de favoriser les échanges », clame-t-il.
Au-delà de ses tournées à travers le Québec - avec également un bon succès dans le reste du Canada et en Europe -, Charly Niles aime faire sa part socialement. Celui qui a notamment agi comme porte-parole des Journées montérégiennes de la persévérance scolaire et de l'événement Relève en folies voit avant tout comme un rassembleur.
« Lors de la soirée du 13 juillet (Charly Pop and Friends), au Théâtre La Scène, ce sera l'occasion pour le grand public d'explorer plusieurs univers artistiques différents. Pour ma part, en plus des performances à caractère musical, je raconterai quelques anecdotes cocasses. Ce sera une magnifique soirée, qui clôturera en beauté la Cité d'Art. J'ai très hâte! », soutient-il.
mardi 2 juillet 2013
L'enchanteur Merlin
Dans les contes médiévaux de notre enfance, Merlin l'enchanteur fait figure de héros et de légende. À sa manière, Merlin Camiré, un artiste-peintre autodidacte de St-Hyacinthe, a aussi un pouvoir magnifique: allumer nos cœurs et embellir notre quotidien.
Né à St-Hyacinthe et âgé de 32 ans, s'intéresse à l'art depuis 2004. Il a cependant décidé, tout récemment, d'y consacrer davantage d'efforts.
" Ma grand-mère m'a donné un jour, comme cadeau de fête, du matériel pour peindre. J'ai laissé ça dormir durant quelque temps avant de me décider à me lancer dans cette belle aventure ", explique celui qui a également brillé, en tant que musicien, à Secondaire en spectacle.
Celui qui participe au concept " Vitrine sur l'art ", par ses œuvres en vedette à la microbrasserie Le Bilboquet, en sera à sa première exposition à vie. Avec des médiums tels le pastel, l'acrylique et le crayon marqueur, Merlin Camiré aime jongle avec les couleurs, les lignes et les dimensions.
" L'important, pour moi, c'est d'avoir du plaisir dans ce que je fais. Tant mieux si mon exposition au Bilboquet me donne de la visibilité et me permet de joindre plus de gens, mais je demeure toujours intègre dans ma démarche artistique ", soutient-il.
Adepte des arts martiaux depuis cinq ans, Merlin Camiré affirme laisser entrer de plus en plus la spiritualité dans sa vie.
" L'art est omniprésent dans mon quotidien. Même quelques gouttes de peinture sur le sol peuvent constituer une œuvre. Tout est question de perception. Peindre, c'est magique ", lance-t-il en souriant.
Un vernissage des œuvres de Merlin aura lieu le mercredi 10 juillet, dès 19 h, au Bilboquet, soit juste avant la troisième et dernière soirée reggae. Il fera une performance en direct durant la soirée.
Pour en savoir davantage sur ce jeune artiste, on peut le joindre sur Facebook.
(Merci à Véronique Marier pour la photo de Merlin Camiré)
Né à St-Hyacinthe et âgé de 32 ans, s'intéresse à l'art depuis 2004. Il a cependant décidé, tout récemment, d'y consacrer davantage d'efforts.
" Ma grand-mère m'a donné un jour, comme cadeau de fête, du matériel pour peindre. J'ai laissé ça dormir durant quelque temps avant de me décider à me lancer dans cette belle aventure ", explique celui qui a également brillé, en tant que musicien, à Secondaire en spectacle.
Celui qui participe au concept " Vitrine sur l'art ", par ses œuvres en vedette à la microbrasserie Le Bilboquet, en sera à sa première exposition à vie. Avec des médiums tels le pastel, l'acrylique et le crayon marqueur, Merlin Camiré aime jongle avec les couleurs, les lignes et les dimensions.
" L'important, pour moi, c'est d'avoir du plaisir dans ce que je fais. Tant mieux si mon exposition au Bilboquet me donne de la visibilité et me permet de joindre plus de gens, mais je demeure toujours intègre dans ma démarche artistique ", soutient-il.
Adepte des arts martiaux depuis cinq ans, Merlin Camiré affirme laisser entrer de plus en plus la spiritualité dans sa vie.
" L'art est omniprésent dans mon quotidien. Même quelques gouttes de peinture sur le sol peuvent constituer une œuvre. Tout est question de perception. Peindre, c'est magique ", lance-t-il en souriant.
Un vernissage des œuvres de Merlin aura lieu le mercredi 10 juillet, dès 19 h, au Bilboquet, soit juste avant la troisième et dernière soirée reggae. Il fera une performance en direct durant la soirée.
Pour en savoir davantage sur ce jeune artiste, on peut le joindre sur Facebook.
(Merci à Véronique Marier pour la photo de Merlin Camiré)
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